ENSEMBLE, MOBILISONS-NOUS CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX ENFANTS

1 milliard d’enfants est, chaque année, victime de violences physiques, sexuelles ou psychologiques. 

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Durant le confinement, la situation s’est encore aggravée. Nous ne pouvons plus faire semblant d’ignorer l’intolérable.

Coups, agressions sexuelles, sévices psychologiques…. Un enfant sur deux est victime, à travers le monde, de violences intolérables de la part des adultes ou de ses pairs. Et les conséquences de ces maltraitances sont terribles : blessures et traumatismes, troubles de croissance, maladies psychiques et chroniques, … 

La pandémie et ses mesures de confinement ont, avec le stress, les difficultés économiques et de promiscuité liées, encore aggravé la situation. 

Ces enfants sont seuls face à leurs bourreaux, nous ne pouvons les abandonner.
Écoutés, pris en charge et accompagnés, ils peuvent surmonter leurs traumatismes et se reconstruire.
Mobilisons-nous aujourd’hui pour leur tendre la main !

Fort de plus de 70 ans d’expérience, le BICE (Bureau International Catholique de l’Enfance) travaille avec 80 organisations de confiance pour protéger les enfants et défendre leurs droits et leur dignité à travers le monde. 

Nos actions pour lutter contre les violences à l’égard des enfants :
•  Nous assurons, avec nos partenaires, l’accompagnement complet d’enfants victimes : juridique, social et psychologique.
•  Nous formons des professionnels de tous pays à une prise en charge adaptée de ces enfants : policiers, juges, médecins, psychologues.
•  Nous menons des actions de sensibilisation auprès des communautés afin de promouvoir les droits des enfants et une culture de bientraitance à leur égard.
•  Le BICE est accrédité auprès du conseil des Droits de l’homme et du comité des droits de l’enfant de l'ONU. Il fait ainsi entendre la voix des enfants victimes à travers des actions de plaidoyer international, relayées sur le plan national. 
Dans le cadre de l’épidémie Covid-19, nos actions se sont adaptées et renforcées avec, par exemple, la mise en place de numéros d’appel d’urgence en Amérique latine ou de séances thérapeutiques à distance en Russie.

©T. Louapre