TRANSMETTRE POUR AIDER LES PLUS DÉMUNIS
ET FAIRE ENTENDRE LEUR CRI

Depuis 40 ans, nos équipes arpentent chaque jour les rues à la rencontre de ce frère abandonné.
Vous pouvez nous aider en tendant une main fraternelle à celui qui est pauvre et vit dans la rue.

Formulaire de prise de contact

En transmettant à "Aux captifs, la libération", vous pouvez rendre durablement à ce frère sa dignité et sa place dans la société.

1. Rencontrer les personnes de la rue « les mains nues »
Avec 200 maraudes mensuelles à Paris, nos équipes ont acquis une vraie expérience de « l’aller vers » les personnes de la rue. Ces tournées régulières les mains nues permettent aux personnes de la rue de de se confier, se sentir écoutées sans jugement, de construire une vraie relation avec les équipes, point de départ d’un accompagnement global dans les antennes. 

2. Accueillir et accompagner de façon globale
Nos équipes salariées et bénévoles réalisent un accompagnement englobant tous les aspects de la personne : sanitaire, social, culturel et spirituel. Cet accompagnement est mis en œuvre dans les accueils de jour.

3. Aider les plus démunis à retrouver leur dignité
Nous proposons des programmes de dynamisation (séjours de rupture, ateliers créatifs, groupes de parole, sorties culturelles) favorisant une meilleure confiance en soi, une mobilisation personnelle pour une réinsertion sociale et professionnelle.

4. Partager les joies et les peines dans un lieu adapté
La colocation solidaire Valgiros, dans le 15eme arrondissement de Paris, est un lieu de vie et de partage entre 21 personnes ayant connu la rue et 11 jeunes professionnels bénévoles. Une équipe de travailleurs sociaux accompagne les résidents et anime ce vivre-ensemble, source de réconciliation avec les autres et avec eux-mêmes.


Nous avons eu la chance de bien réussir dans la vie. Aujourd’hui je me retrouve seule sans enfants. Aussi je souhaite transmettre ce que Dieu m’a donné au bénéfice de ceux qui n’ont rien. Je suis heureuse de savoir que, lorsque je ne serai plus, mes biens perpétueront, au-delà de ma vie, mon engagement auprès de l’association «AUX CAPTIFS, LA LIBERATION» " - Madame V.

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3 Façons de transmettre

LE LEGS
Le legs vous permet de transmettre par testament tout ou partie de vos biens à l’association « Aux captifs, la libération », après votre décès ou celui de votre conjoint survivant.
Cela nécessite de préciser vos intentions dans un testament en vous faisant de préférence aider d’un notaire.

LA DONATION
La donation se fait de votre vivant et porte sur une partie ou la totalité de vos biens, tels qu’un appartement ou une maison, une œuvre d’art, un bijou, des actions boursières, une somme d’argent...
Elle fait l’objet d’un acte notarié définitif.

L'ASSURANCE-VIE
L’assurance-vie est un contrat d’épargne que vous souscrivez auprès d’un banquier ou d’un assureur.
En nommant l’association « Aux captifs, la libération » bénéficiaire de ce contrat, vous permettez que lui soit reversé un capital ou une rente.

Une équipe à votre écoute
Décider de faire un don ou un legs est un acte qui mérite réflexion et conseils.
Notre équipe est à votre écoute, en toute discrétion et confidentialité pour étudier vos souhaits et vous accompagner dans les différentes étapes de votre projet de transmission.
Nous veillerons à trouver avec vous la solution la plus adaptée à votre situation personnelle.

N’hésitez pas à prendre contact avec nous :
Service libéralités. Tel : 01 49 23 89 99. Adresse email : liberalites@captifs.fr

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AUX CAPTIFS, LA LIBERATION

« Aux captifs, la libération » est une association d’intérêt général au service des personnes de la rue et des personnes en situation de prostitution.
Elle a été créée en 1981 par le Père Patrick Giros, prêtre du diocèse de paris.
Implantée à Paris, Lyon et Bordeaux, l’association vient en aide aux personnes exclues vivant dans la rue : personnes sans domicile fixe, personnes en situation de prostitution, migrants, jeunes en errance, victimes de la drogue ou de l’alcool.

Père Patrick Giros, fondateur de l’association 

« Sans rôle social dans la rue, nous sommes appelés à reconnaître notre impuissance et à y consentir pour laisser se déployer la puissance de Dieu pour notre conversion ».
Bouleversé par le sort des personnes vivant dans la rue, le père Patrick Giros a fondé l’association « Aux captifs, la libération » en 1981. Homme de combat, visionnaire et prophétique, il avait pour désir d’aider les personnes de la rue à reprendre conscience de leur dignité et leur place dans la société, ainsi que dans l’Eglise.